25 Juin 2018
(Rajout ultérieur : le Salon s'appelle désormais : "Salon des Oubliées")
Ohé, les amis de ce blog, qui est durement concurrencé par FB et son ergonomie de fainéant, moi le premier bien sûr, puisque je n'ai rien édité ici depuis des mois.
Alors, voici une petite annonce, avant que vous preniez le large vers des pays rêvés bien plus beaux que votre terrier habituel :
J'ai passé il y a peu la ligne des 70 balais, et il me reste pas mal de choses à balayer derrière moi, au cas où. Si, comme je le disais à mon public d'enfants, je prétends avoir fait 1000 chansons (en réalité peut-être seulement 999) il en reste pas mal dans les cartons, les cassettes, les disques durs... Je viens d'en retrouver aujourd'hui même, sur une cassette audio, intitulée "Concert aux Caves Mosannes (Liège) 1976 ". Son pas vraiment pro, mais on ressent quand même l'énergie du Delahaye d'alors. Et dessus, quelques inédits.
Ce n'est qu'un exemple, car j'ai dans mes chais et mes greniers pas mal de choses : des vieilleries sympathiques, qui me plaisent parfois encore. D'autres carrément insupportables (mais comment ai-je pu commettre un objet aussi difforme ?!!), et d'autres encore qui parfois me laissent pantois. Mais aussi des jeuneries plus faciles à reconnaître comme mes bébés car elles sont plus proches de moi aujourd'hui. Bref, un bric à brac qui peut faire office de pointillés entre les albums "officiels".
Ces restachous, j'ai bien l'intention, à partir de septembre, de vous les faire partager, à l'unité, et de façon hebdomadaire. Ça s'appellera "Le salon des refusées" (correction ultérieure: le Salon des Oubliées, c'est moins négatif !) : chansons oubliées, qui n'ont pas trouvé leur place dans les albums, ou écrites pour le Trio EDF, mais non acceptées par le jury... Il y a mille raisons pour zapper mille chansons. Et un jour, elles disparaissent, elles n'existent plus. Ce serait dommage, non ?
Alors, rendez vous en septembre, j'en aurai pour au moins une année à vous exposer mes petits bout de rêves, de rage, de rires, et d'ici là tchüss, bel été, et attention aux coups de bambou !