20 Décembre 2018
Enregistré en scène, en Belgique et en 77, voici un de mes grands classiques des années 70, qui a donné son titre à l'album "Le printemps". Une antiquité sympathique qui a le mérite de me rappeler que je pouvais sans forcer chanter un sol aigu sans passer en voix de tête. Le jeu de guitare est propre et efficace, et pour une fois, je trouve que le tempo est juste et modéré. Bien sûr, c'est repiqué d'une K7 audio, donc le son laisse à désirer : le charme d'un parchemin, voire même d'un incunable.
Une chanson inspirée par le printemps québécois, bien plus soudain et spectaculaire que le printemps breton.
Il y a eu un petit bug dû à Overblog... désolé les amis pour ce retard.
Et, bien sûr, choyeux Nowel !